jeudi 12 juin 2008

Laurent Septier




Il fut un temps lointain où on voyait tout le temps Laurent Septier, maintenant on le voit ailleurs, souvent loin.
Il est dévastateur et sans ironie explose les archétypes du monde contemporain, consommation, politique, imageries. Et, de l'intérieur des imageries, ce qui peut être un cynisme est en fait une critique arrêtée juste avant de formuler une utopie.
Du coup, il y a une sorte de joyeux désespoir dans le tout, qui prend toutes les formes que j'aime : installation déjantées, photographies du banal...
Ici, d'ailleurs il emprunte à Niele Toroni, puisqu'il a appelé le tout "Toroni figuratif".

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